La batterie, tu en fais depuis quand ?
BDR : Petit, je chipais les casseroles de la cuisine et les disposais comme une batterie en tapant dessus avec des cuillères en bois. Mais mes parents n'ont pas compris et m'ont inscrit à des cours de trompette - mon second choix. Plus tard, au début de l'adolescence, j'ai commencé à prendre des cours - trop académiques, j'y suis resté trois ans - et j'ai eu ma première batterie, une belle Pearl...
As-tu joué dans d’autres groupes avant d’embarquer sur le WPK ?
BDR : Certainement : Extinguish. J'ai d'ailleurs un projet, un duo avec Simon Danhier : "Racine Congo". Allez jeter une oreille sur www.myspace.com/racinecongo. On travaille, on se cherche... Ce qui à écouter reste un essai...
Le blues… un choix, une évidence ?
BDR : Une évidence ! La racine de toutes les musiques du XXe...
As-tu une ambition particulière en musique ?
BDR : De l'ambition ? Je ne sais pas... Evidement, pouvoir vivre de la musique serait sans doute la seule manière pour moi de vivre heureux ! Toutefois, il y a tant de formatage aujourd'hui, dans toutes les musiques que... je ne sais pas...
Le blues toujours, ou d’autres genres musicaux te titillent ?
BDR : Je suis amateur de blues depuis tout petit, grâce à mes parents qui en écoutaient (j'étais un grand fan de Roland !). Et puis grâce aussi à Baptiste Coppens que je connais depuis que j'ai... quoi ? 7 ans ? et qui jouait déjà du blues au piano, ce qui m'impressionnait beaucoup. Dans mes cheminements, j'ai rencontré un autre genre : le reggae. Que je joue et que je collectionne. Et aussi le funk, la soul, le r&b... Je voudrais me remettre aussi à la trompette classique : jouer de la musique baroque avec cet instrument a quelque chose de jouissif !
Baptiste DE REYMAEKER (cliquez ici pour lui envoyer un mail)
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